La malicieuse revanche d'un souffre-douleur

Couverture et quatrième de couverture du livre en bas de page.

RTBF

"Ce livre va faire boum boum dans votre petit coeur"

Le blog de Carobookine

"La malicieuse revanche d’un souffre-douleur est une sorte de Petit Nicolas des temps modernes, plein d’humour et de finesse."

Les petites lecture de Maud

"Avec beaucoup d'humour et un goût de guerre des boutons, l'auteur nous offre une plongée dans la cour de récré."

Cousines de lectures

"Roman sensible qui fera résonner une certaine nostalgie en chacun et remonter des souvenirs que nous avons tous"

Le fatras de Titi (libraire)

"De vraies scènes désopilantes, des saillies improbables, une cour des miracles débridée, la découverte des mensonges et des coups de billard à cinq bandes... Serge Farnel signe un premier roman, hors du temps, d'une désarmante tendresse, tout en n'épargnant pas au lecteur un miroir pas si avantageux que cela."

Le blog de Lolobrodeuse

"Une lecture emprunte d'humour et de nostalgie."

Encoeur des livres

"Arthur, collégien intelligent, néanmoins maladroit nous raconte son année scolaire avec ses propres mots et ressentis. (...) Il y a des centaines d'anecdotes au sein de ces pages et vous en repérerez forcément une ayant un écho dans votre cœur."

Histoire du soir

Un roman "qui se savoure comme une tartine de confiture".

La malicieuse revanche d'un souffre-douleur

Souvenez-vous  ! La rentrée des classes est un choc  : on découvre la peur au ventre de nouveaux professeurs qui exercent (plus ou moins) leur autorité, on essaie avec maladresse de se faire de nouveaux copains et, souvent pour la première fois, on a le cœur qui bat la chamade.   Au collège, dans  la cour de récréation, entre brimades, racisme et harcèlement, c’est aussi la guerre des boutons. Les clans s’affrontent, et tous les coups sont permis. Arthur, douze ans, cherche à trouver sa place tout en évitant de trop se faire remarquer. Aucune envie d’être pris comme souffre-douleur. Car il en faut toujours un : dans sa classe, c’est Thierry. Mais pour séduire Giovanna qu’il n’ose aborder, Arthur n’a d’autres choix que de se faire remarquer. Périlleuse équation ! Alors, quand le proviseur décide de lancer La Gazette du collège, tous les espoirs sont permis. Thierry a choisi son camp  : pour échapper à la cruauté des autres, rien de tel que de l’exercer. Et si les têtes de Turc formaient leur propre bande ? Cette histoire est celle d’un enfant sensible qui cherche juste à grandir et se prend, comme nous à l’époque, de plein fouet le monde des adultes. 

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Commentaires

  • Polo
    • 1. Polo Le 27/12/2017
    J'ai reçu ce livre pour Noël. J'ai passé un super moment. Vraiment drôle. J'ai beaucoup aimé le mélange d'humour et de réflexion sur des sujets qui nous concernent tous. Un grand merci à l'auteur !
  • Joe
    • 2. Joe Le 06/11/2017
    Une belle plongée en enfance. J'aime l'idée de faire raconter cette histoire par un pré-ado. Arthur cause, cause, pense, trop à son goût, et aimerait cesser de penser autant, aimerait cesser de parler tant en lui. Pour ressentir les choses qui l'entourent. Pour vivre pleinement. On est proche de la problématique de la méditation avec ce roman. Et de tant d'autres questions. Très bon roman.
  • Philippe
    • 3. Philippe Le 02/11/2017
    Ces critiques sont amplement méritées. Je viens de finir ce livre et j'ai adoré. Il n'y a pas que de l'humour dans ce roman, mais beaucoup de matières à réflexion dans des domaines très divers: le harcèlement scolaire, bien sûr, mais pas seulement. Je pense notamment à l'incidence du nombre sur notre faculté à continuer à penser par nous-mêmes sans être pollué par la pensée majoritaire. Coluche le disait très bien: "Ce n'est pas parce que vous êtes nombreux à avoir tort que vous avez raison." ll y a dans "la malicieuse revanche d'un souffre-douleur" un passage tout à fait intéressant qui illustre cette question avec précision lorsque Mathieu (ou Georges je ne sais plus) se retrouve sur la balance et que les élèves qui défilent ne parviennent plus à lire ce qu'indique l'aiguille ! Plus ils défilent, plus ils confortent l'erreur initiale de la lecture du poids de celui qui est sur la balance, moins le suivant parvient à lire correctement ce qui est pourtant tout à fait lisible. Il en va ainsi quand tout le monde pense autrement que la façon dont vous pensez vous-même. Et alors, ce n'est jamais facile de résister. C'est un sacré sujet. Et bien illustré dans ce livre. Bravo !

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